après quelques (inutiles) heures passées cette semaine à configurer, (de façon très sommaire, je vous rassure), le (nouvel) espace blogguesque dans lequel, selon toute vraisemblance (et sans interventions informationnelles contre-ordiques), va pouvoir se développer “ ce que je fais de mes jours (deuxième saison) “, me voilà sur le point de procéder (incessamment sous peu) au basculement translationnel, précédemment évoqué dans la note du 24 juin 2006 (intitulée, à juste propos, “ l’arbitraire translation (hypothétique) “). Indépendamment du (léger et coloré) changement graphique, et de quelques nouvelles (inutiles ?) fonctionnalités, une différence (notoire) de ce nouvel espace va être la possibilité (enfin ?) pour moi de “ passer à la ligne “ lors de la rédaction de notes, rendant ainsi, (selon moi), le texte (sensiblement) plus aéré. Bien que d’aucun(e)s pourraient (hâtivement ?) penser que la suppression (totale) de parenthèses (abusives), ainsi que la disparition (facilitante) d’innombrables digressions, et l’interruption (souhaitable) de génération (confuse et profusionnelle) de néologismes suffiraient déjà à apporter un surcroît considérable de clarté, il n’en demeure pas moins que ce point de détail mise-en-pagesque (“ le saut de ligne “) reste, (toujours selon moi), un élément non négligeable dans l’évolution de toute cette histoire (confuse, et toujours aussi chaotique par ailleurs). Rome ne s’est pas fait(e) en un jour...
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